au bord des étangs
"A l'heure où le soleil se couche, le marais m'enivre et m'affole. Après avoir été tout le jour le grand étang silencieux, assoupi sous la chaleur, il devient, au moment du crépuscule, un pays féérique et surnaturel. Dans son miroir calme et démesuré tombent les nuées, les nuées d'or, les nuées de sang, les nuées de feu; elles y tombent, s'y mouillent, s'y noient, s'y traînent." ( Sur l'eau 1888 Guy de Maupassant) et une libellule passe caressée par les derniers rayons du soleil...